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 Analyse des études scientifiques sur les méfaits causés par les masques faciaux dans la population générale, y compris chez les enfants 1/2

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flam7
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flam7


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Analyse des études scientifiques sur les méfaits causés par les masques faciaux dans la population générale, y compris chez les enfants 1/2 Empty
MessageSujet: Analyse des études scientifiques sur les méfaits causés par les masques faciaux dans la population générale, y compris chez les enfants 1/2   Analyse des études scientifiques sur les méfaits causés par les masques faciaux dans la population générale, y compris chez les enfants 1/2 Icon_minitimeLun 22 Mar - 20:44

Denis Rancourt — ResearchGate
 
lun., 22 mar. 2021 10:16 UTC
Le port du masque imposé avec succès dans la population générale pendant l'ère du Covid-19 constitue un témoignage du pouvoir de la propagande, de la mainmise des institutions et du désir de conformité sociale. Les préjudices de cette mesure obligatoire sont palpables, et potentiellement gargantuesques sur le long terme, à commencer par le conditionnement psychologique du public à se conformer à une mesure absurde dont les effets négatifs personnels sont directs. Voici l'examen des preuves croissantes de ce qui est évident : le port du masque généralisé nuit aux personnes et à la société, sans aucun avantage détectable.
Analyse des études scientifiques sur les méfaits causés par les masques faciaux dans la population générale, y compris chez les enfants 1/2 Masques_Covid_19_population
© Stuff
Introduction — Il incombe au gouvernement d'évaluer la sécurité

Conformément au principe de précaution, il incombe au gouvernement de démontrer, avant d'imposer une mesure, l'absence de dommages significatifs qui auront été anticipés, en particulier dans le cas d'une mesure médicale personnelle appliquée à la population générale en bonne santé.

Pour les masques, le principe de précaution n'a pas été suivi lors de la pandémie de Covid-19. Dans les provinces canadiennes, les mesures relatives au port obligatoire du masque généralisé ont été encore plus agressives que les recommandations certifiées par l'OMS. 1

Les récents commentaires scientifiques n'ont pas manqué de faire état de cette imprudence du gouvernement. En voici quelques exemples.

  • Dès le 20 avril 2020, Lazzarino et al. s'opposaient directement à une perversion de la logique autour du principe de précaution qui a été appliqué par certains scientifiques et de nombreux législateurs (à savoir que les gouvernements devraient agir « sans preuve définitive, juste au cas où ») : 2

Citation :
Citation :
« Bien qu'aucune formulation unique de ce principe n'ait été universellement adoptée, (réf) le principe de précaution vise à empêcher les chercheurs et les décideurs politiques de négliger les effets secondaires potentiellement néfastes des interventions. [...]

La plupart des articles scientifiques et des directives dans le contexte de la pandémie de Covid-19 mettent en évidence deux effets secondaires potentiels du port de masques chirurgicaux dans le public [faux sentiment de sécurité, utilisation inappropriée du masque], mais nous pensons qu'il y en a d'autres qui méritent d'être pris en considération avant la mise en œuvre de toute politique mondiale de santé publique impliquant des milliards de personnes. [...]

[...] Il est nécessaire de quantifier les interactions complexes qui pourraient bien s'opérer entre les effets positifs et négatifs du port de masques chirurgicaux au niveau de la population. Ce n'est pas le moment d'agir sans preuves. »

  • Le 13 août 2020, les chirurgiens Frountzas et al. ont averti que l'enthousiasme autour du Covid-19 pour imposer des équipements de protection individuelle (EPI) aux chirurgiens pourrait mettre en danger les patients opérés (on peut dire la même chose des conducteurs de train, de tram et de bus, et d'un large secteur de travailleurs au service du public) : 3

Citation :
Citation :
« Que ce soit dans le cas d'un deuxième confinement ou non, la sécurité de l'utilisation des EPI contre le Covid-19 pour les chirurgiens devrait être étudiée. Toutes les éléments de l'EPI augmentent la température corporelle et la transpiration du chirurgien, ce qui entraîne une diminution de son confort, en particulier lors d'interventions chirurgicales prolongées et compliquées. Comme mentionné ci-dessus, les EPI semblent être associés à des effets secondaires importants, comme des dermatoses et des maux de tête pour les professionnels de la santé. L'inconfort et les effets secondaires associés aux EPI pendant l'opération peuvent accroître l'anxiété et la fatigue des chirurgiens lors d'opérations difficiles. »

  • Le 22 novembre 2020, le Dr Vainshelboim tenait des propos sans plus aucune ambiguïté : 4

Citation :
Citation :
« Résumé : [...] Bien que les preuves scientifiques de l'efficacité des masques fassent défaut, les effets néfastes sur la physiologie, la psychologie et la santé sont établis. L'hypothèse a été émise que les masques faciaux ont un profil de sécurité et d'efficacité compromis et qu'il faut en éviter l'utilisation. Le présent article résume de manière exhaustive les preuves scientifiques concernant le port des masques à l'ère du Covid-19...

Conséquences à long terme du port de masques sur la santé : La pratique à long terme du port de masques faciaux a un fort potentiel de conséquences sanitaires dévastatrices. L'état hypoxique-hypercapnique prolongé compromet l'équilibre physiologique et psychologique normal, détériore la santé et favorise le développement et la progression des maladies chroniques existantes (10 références).

Conclusion : [...] Il a été démontré que le port de masques a des effets physiologiques et psychologiques négatifs importants. Ces effets comprennent l'hypoxie, l'hypercapnie, l'essoufflement, l'augmentation de l'acidité et de la toxicité, l'activation de la peur et de la réaction au stress, l'augmentation des hormones de stress, l'immunosuppression, la fatigue, les maux de tête, la diminution des performances cognitives, la prédisposition aux maladies virales et infectieuses, le stress chronique, l'anxiété et la dépression. Les conséquences à long terme du port d'un masque facial peuvent entraîner une détérioration de la santé, le développement et la progression de maladies chroniques et une mort prématurée. »
En effet, les méfaits du port du masque prolongé sont de plus en plus documentés dans de nombreuses études scientifiques, en particulier pour les professionnels de la santé, les écoliers, les nouveau-nés et avec des infections bactériennes dans la population générale, comme décrit ci-dessous.

Contexte — Analyse des risques, des avantages et des dommages

Dans une perspective politique générale, trois questions sont pertinentes :

  • Quel est le risque lié au Covid-19 ?
  • Existe-t-il des preuves que les masques faciaux peuvent réduire le risque lié au Covid-19 ?
  • Les masques faciaux sont-ils nocifs ?

En ce qui concerne la première question (Quel est le risque lié au Covid-19 ?), à ce stade — presque une année civile complète depuis que l'OMS a déclaré la pandémie le 11 mars 2020 — il existe une limite supérieure au risque de décès lié au Covid-19 (« par an »), sur la base des statistiques mondiales :

  • Risque = nombre de décès dans une année complète de propagation de la pandémie / population
  • Risque < 2,43 millions / 7,8 milliards = 0,03 % (statistiques actuelles de l'OMS, février 2021)

Le risque mondial annuel ainsi calculé (0,03 %) est une limite supérieure surestimée parce que les décès déclarés à l'OMS par les États-nations sont des décès « avec » le Covid-19, et non des décès déterminés comme étant « causés par » le Covid-19, et parce que le test RT-PCR recommandé n'est pas fiable, et parce que l'attribution du Covid-19 peut être basée sur les seuls symptômes déclarés, sans identification virale en laboratoire, dans un contexte mondial de forte probabilité de biais de déclaration.

Plus important encore, la limite supérieure du risque ainsi calculée (0,03 %) est encore surestimée parce qu'elle ne tient pas compte de l'importante susceptibilité connue au décès par le Covid-19 en fonction de l'âge. Un risque supérieur corrigé de la sensibilité en fonction de l'âge peut être estimé comme suit. (La correction est nécessaire parce qu'un décès par le Covid-19 ne cause pas autant d'années de vie perdues qu'un décès moyen dû à une cause qui ne discrimine pas selon l'âge).

  • Âge moyen global = 29,6 ans ;
  • Espérance de vie globale à la naissance = 71,5 ans ;
  • Population mondiale = 7,8 milliards ;
  • Total globalisé d'années de vie = (7,8 milliards) x (71,5 - 29,6 ans) = 327 milliards années de vie ;
  • Perte moyenne d'années de vie par décès du fait du Covid-19 = 0,5 à 5 années, disons 2,75 années ;
  • Perte globale d'années de vie dues au Covid-19 par an = (2,43 millions par année) x (2,75 années) = 6,68 millions d'années de vie par année (de pandémie de Covid-19) ;
  • Risque ajusté < 6,68 millions / 327 milliards = 0,002 %.

La surestimation non corrigée du risque global maximum par an de mourir du Covid19 (0,03 %) est, au Canada, cinq fois moins élevée que le risque annuel de mourir du cancer. La surestimation du risque annuel maximum corrigé de la sensibilité à l'âge (corrigé des années de vie perdues) du Covid-19 (0,002 %) est cinq fois moins élevée que le risque annuel de mourir d'un accident de voiture aux États-Unis.

En ce qui concerne la deuxième question (Existe-t-il des preuves que les masques faciaux peuvent réduire le risque de Covid-19 ?), conformément aux données : 5 6 7

  • La seule façon de mesurer scientifiquement l'efficacité des masques est d'utiliser un essai contrôlé randomisé (ECR) avec « résultat vérifié » (infection confirmée en laboratoire) car : (a) l'efficacité est faible par rapport à d'autres facteurs connus et inconnus, (b) les variations d'infectiosité et de sensibilité d'une personne à l'autre sont connues pour être importantes par rapport aux moyennes, et (c) il existe, dans toute étude inférieure aux normes, un fort potentiel de biais dans la collecte/sélection des données et dans l'interprétation.
  • Il n'y a pas eu moins de 15 ECR de qualité suffisante et dont les résultats ont été vérifiés pour informer la classe politique, dans des contextes de soins de santé, de communauté et de population générale. Tous, sauf le plus récent, ont été analysés dans des revues systématiques formelles officielles publiées. Les 15 études constatent toutes qu'aucune réduction du risque d'infection ne peut être détectée avec une signification statistique. Cela signifie que tout bénéfice est trop faible pour être détecté par la science.
  • La prétention du gouvernement que les masques réduisent la transmission est en fait une propagande fallacieuse, s'appuyant à tort sur des études non pertinentes et de qualité inférieure.
  • Par conséquent, la présomption selon laquelle les masques fonctionnent est incorrecte. Elle est réfutée par la science : toute réduction des risques est trop faible pour être détectée à l'aide des critères statistiques habituels et établis.

Il n'existe aucune preuve fiable ou de qualité suffisante pour informer la classe politique que les masques faciaux peuvent réduire le risque de Covid-19.

En ce qui concerne la troisième question (Les masques faciaux causent-ils des dommages ?), comme indiqué ci-dessus, il existe actuellement une vague de rapports scientifiques sur les dommages causés par les masques faciaux, que je décris ci-dessous.

Il ne fait aucun doute que le port prolongé d'un masque provoque des dommages et des handicaps importants chez les personnes en bonne santé. Des études récentes ont porté sur :

  • les professionnels de la santé ;
  • les écoliers ;
  • les nouveau-nés ;
  • des adultes en bonne santé.

Le premier examen (19 juin 2020) de Bakhit et al. portait sur les méfaits des masques faciaux dans tous les milieux (domicile, lieu de travail, etc.). Ils ont passé en revue 5 471 articles potentiels et ont identifié 37 études qui ont rapporté de manière fiable les méfaits des masques. Ces 37 études ont été publiées dès 2004, et comprenaient deux études publiées en 2020. Dans ces 37 études (leur tableau 1) :

  • 20 ont fait état d'une « gêne et d'une irritation » ;
  • 4 ont fait état d'une « dyspnée et autres » ;
  • 6 ont fait état d'un « impact psychologique » ;
  • 9 ont fait état d'un « impact sur la communication » ;
  • et une étude a fait état d'une « contamination par les masques ». La conclusion de Bakhit et al. (dans le résumé) est la suivante : 8

Citation :
« Il n'y a pas suffisamment de données pour quantifier tous les effets néfastes qui pourraient réduire l'acceptabilité, l'adhésion et l'efficacité des masques. De nouvelles recherches sur les masques faciaux devraient évaluer et rapporter les inconvénients et les effets secondaires. Des recherches urgentes sont également nécessaires sur les méthodes et les conceptions visant à atténuer les inconvénients du port des masques, en particulier l'évaluation des alternatives telles que les écrans faciaux. »
Professionnels de la santé

A peine huit mois plus tard, à la suite de l'étude de Bakhit et al. Galanis et al. (5 février 2021, prépublication) ont publié une étude systématique et une méta-analyse pour « évaluer l'impact de l'utilisation des EPI sur la santé physique des professionnels de la santé pendant la pandémie de Covid-19 ». Leur « revue comprenait 14 études portant sur 11 746 travailleurs de la santé de 16 comtés » 9 :

Voici neuf études récentes importantes portant sur les professionnels de la santé :
Citation :
1 — ➤➤ Résultats (Résumé) : Un total de 343 professionnels de la santé sur les lignes de front de la pandémie de Covid-19 ont participé à cette étude à New York City. 314 répondants ont signalé des effets indésirables liés à l'utilisation prolongée de masques, les maux de tête étant la plainte la plus fréquente pour 245 personnes. 175 personnes interrogées ont souffert de lésions cutanées, et 182 ont déclaré avoir souffert d'acné. Des troubles cognitifs ont été signalés par 81 répondants. [...] Certaines personnes interrogées ont ressenti des effets secondaires résolus une fois les masques retirés, tandis que d'autres ont eu besoin d'une intervention physique ou médicale.
Citation :
Conclusion (Résumé) : L'utilisation prolongée du N95 et des masques chirurgicaux par les professionnels de la santé lors de la pandémie de Covid-19 a provoqué des effets indésirables tels que des maux de tête, des éruptions cutanées, de l'acné, des lésions cutanées et des troubles cognitifs chez la majorité des personnes interrogées. [...] 10
Citation :
2 — ➤➤ Résumé : [...] Tous les participants portaient soit des masques chirurgicaux, soit des respirateurs N95 pendant au moins 4 heures par jour [Inde]. [...] Un total de 250 travailleurs de la santé ont participé à l'étude [...] Les résultats obtenus étaient une transpiration excessive autour de la bouche représentant 67,6 %, des difficultés respiratoires à l'effort 58,2 %, de l'acné 56,0 % et des démangeaisons nasales 52,0 %. Cette étude suggère que l'utilisation prolongée de masques faciaux induit une difficulté à respirer à l'effort et une transpiration excessive autour de la bouche chez les professionnels de la santé, ce qui se traduit par une moins bonne observance et un risque accru de susceptibilité à l'infection. 11
Citation :
3 — ➤➤ Résultats (Résumé) : Un total de 158 professionnels de la santé ont participé à l'étude [Singapour]. [...] Sur les 158 personnes interrogées, 128 (81,0 %) ont développé de novo des maux de tête associés aux EPI. Un diagnostic de céphalée primaire préexistant (OR = 4,20, 95 % CI 1,48-15,40 ; P = 0,030) et l'utilisation combinée d'EPI pendant plus de 4 heures par jour (OR 3,91, 95 % CI 1,35-11,31 ; P = 0,012) ont été indépendamment associés à des céphalées de novo associées aux EPI. Depuis l'épidémie de Covid-19, 42/46 (91,3 %) des personnes interrogées ayant un diagnostic de céphalée préexistant étaient « d'accord » ou « tout à fait d'accord » pour dire que l'utilisation accrue de l'EPI avait affecté le contrôle de leurs céphalées de fond, ce qui a affecté leur niveau de performance au travail.
Citation :
Conclusion (Résumé) : La plupart des professionnels de la santé développent de novo des maux de tête associés aux EPI ou une exacerbation de leurs troubles préexistants de maux de tête. 12 13 14
Citation :
4 — ➤➤ Résultats (Résumé) : Au total, 400 prestataires de soins de santé ont rempli le questionnaire, dont 383 remplissaient les critères d'inclusion [Italie]. La majorité d'entre eux étaient des médecins, avec un âge moyen de 33,4 ± 9,2 ans. Parmi les 166/383 sujets, qui n'avaient pas de maux de tête au départ, 44 (26,5 %) ont développé des maux de tête de novo. En outre, 217/383 ont déclaré avoir déjà reçu un diagnostic de céphalée primaire : 137 étaient atteints de migraine et 80 souffraient de céphalées de type tension. Une proportion (31,3 %) de ces céphalées primaires ont vu leur céphalée préexistante s'aggraver, principalement en ce qui concerne la fréquence des migraines et la durée moyenne des crises.
Citation :
Conclusions (Résumé) : Nos données ont montré l'apparition de céphalées associées de novo à un masque facial chez des sujets n'ayant jamais eu de céphalées et une exacerbation des céphalées primaires préexistantes, principalement chez les personnes souffrant de migraines. 15
Citation :
5 — ➤➤ Conclusion (Résumé) : L'utilisation accrue des EPI, en particulier des masques filtrants lors de l'épidémie de Covid-19, est responsable de la génération de maux de tête chez les professionnels de la santé en première ligne (62 %), soit de novo (33 %), soit comme une aggravation d'un problème préexistant (29 %). Ce sont les conditions de travail qui ont le plus d'impact sur la génération de ce type de maux de tête, plus que toute comorbidité préexistante. [...] 16
Citation :
6 — ➤➤ Résultats (Résumé) : (315 participants, Turquie) [...] Le taux de nouveaux symptômes était de 66 % (n=208). Le symptôme le plus fréquent était le mal de tête (n=115, 36,5 %), suivi par les difficultés respiratoires - palpitations (n=79, 25,1 %) et la dermatite (n=64, 20,3 %). L'utilisation prolongée d'EPI, le tabagisme et le surpoids ont été associés indépendamment à l'apparition de nouveaux symptômes. Une nette majorité de participants symptomatiques ont souligné l'impact sur les performances professionnelles (193/208, 92,7 %). 17
Citation :
7 — ➤➤ Résultats (Résumé) : Les sujets sont n=306, 244 femmes (79,7 %), avec une moyenne d'âge de 43 ans (fourchette 23-65) [Espagne]. Sur le total, 129 (42,2 %) étaient des médecins, 112 (36,6 %) des infirmières et 65 (21,2 %) d'autres agents de la santé. 208 (79,7 %) utilisaient des masques chirurgicaux et 53 (20,3 %) des masques filtrants. Sur l'ensemble des personnes interrogées, 158 (51,6 %) présentaient un mal de tête « de novo ». L'apparition d'un mal de tête était indépendamment associée à l'utilisation d'un masque filtrant, RC 2,14 (IC 95 % 1,07 à 4,32) ; au fait d'être infirmière, RC 2,09 (IC 95 % 1,18 à 3,72) ou un autre professionnel de la santé, RC 6,94 (IC 95 % 3,01 à 16,04) ; ou à des antécédents d'asthme, RC 0,29 (IC 95 % 0,09 à 0,89). Selon le type de masque utilisé, il y avait des différences dans l'intensité des maux de tête, et l'impact d'un mal de tête chez les sujets ayant utilisé un masque filtrant était pire dans tous les aspects évalués.
Citation :
Conclusion (Résumé) : L'apparition de maux de tête « de novo » est associée à l'utilisation de masques filtrants et elle est plus fréquente chez certains professionnels de la santé, entraînant un impact professionnel, familial, personnel et social plus important. 18
Citation :
8 — ➤➤ Résultats : [...] Sur 241 [Pakistan], 68 participants (28,2 %) ont déclaré des maux de tête de novo depuis le début de la pandémie, la majorité d'entre eux décrivant le mal de tête comme bilatéral dans sa localisation (n = 47, 69 %), avec une pression/lourdeur dans sa qualité (n = 31, 45,5 %) et d'intensité modérée (n = 45, 66 %). [...] Sur les 68 participants souffrant de maux de tête d'apparition récente, 16 (23,5 %) ont déclaré que le mal de tête avait commencé plus de 2 heures après avoir mis l'EPI, tandis que 19 (27,9 %) ont déclaré que le mal de tête s'était terminé entre 1 et 2 heures après avoir enlevé l'EPI. Cinquante-trois répondants (77,9 %) ont eu des maux de tête pendant 4 jours ou moins par mois. [...] 19
Citation :
9 — ➤➤ [...] Plusieurs dermatoses [défauts ou lésions cutanées] ont été signalées en raison de l'utilisation d'EPI, comme les escarres, les dermatites de contact, l'urticaire de pression et l'exacerbation de maladies cutanées préexistantes, y compris la dermatite séborrhéique et l'acné (2 références). Du 24 mars 2020 au 16 avril 2020, nous avons rencontré 43 patients comprenant des médecins, des infirmières et du personnel paramédical qui ont participé (directement/indirectement) à la gestion des patients atteint du Covid-19 [Inde]. [...] Les dermatoses les plus fréquentes étaient les dermatites de contact irritant (DCI ; 39,5%), suivies des dermatites de friction (25,5%). Les lunettes de protection étaient l'agent responsable le plus fréquent parmi tous les EPI à l'origine de l'une des dermatoses (51,92 %), suivies des masques N95 (30,77 %) et des écrans faciaux (17,31 %). Le pont nasal (63 %) est le site anatomique le plus souvent touché par les dermatoses, suivi par les joues et le menton (26 %). Cependant, on a constaté un chevauchement considérable des différentes dermatoses avec l'atteinte de plusieurs sites. Le symptôme le plus fréquent rencontré par les patients était le prurit (67,44 %), tandis que l'érythème (53,49 %) était le signe le plus fréquent observé. Il est intéressant de noter que nous avons observé deux dermatoses distinctes, à savoir l'érythème du visage entier (suffocation ; 21 %) attribué au déshabillage après un long quart de travail et la dermatite due au léchage constant des lèvres, en raison de la sensation de soif intense due à la restriction de l'apport en liquide après avoir revêtu un EPI. La durée du port des lunettes et du masque, la transpiration excessive et les masques mal ajustés ont tous été associés à une sensation d'irritation accrue. La plupart de ces dermatoses ont bien répondu à l'hydratant topique, à la lotion de calamine et aux antihistaminiques oraux. Dans l'ensemble, 21 % des patients ont souffert d'un absentéisme au travail dû à l'une de ces dermatoses. Les dermatoses induites par les équipements de protection individuelle sont principalement dues à l'effet d'occlusion et d'hyper-hydratation des EPI et à la rupture de l'intégrité épidermique due aux frottements (réf.) Récemment, en Chine, des auteurs ont noté une très forte prévalence, à savoir 97 % des lésions cutanées pour les porteurs d'EPI qui sont en première ligne dans la lutte contre le Covid-19 (réf.). 20
Impacts physiologiques des masques faciaux chez les adultes en bonne santé

Outre l'accent mis sur les professionnels de la santé, un nombre important d'études récentes s'accumulent sur les préjudices subis par les nourrissons et les écoliers (décrits ci-dessous). Des études sur les effets physiologiques mesurés des masques faciaux chez les adultes en bonne santé commencent également à être menées. En 2005, Li et al. ont fait état des températures de type microclimats et d'humidité des masques faciaux ; et apparemment, les premières mesures physiologiques sur des adultes masqués en bonne santé ont été rapportées en 2020 par Fikenzer et al :
Citation :
1 — ➤➤ Discussion (Résumé) : Nous discutons de la manière dont le N95 et les masques faciaux chirurgicaux induisent des différences significatives de température de type microclimats et d'humidité dans les masques, qui ont des influences profondes sur la fréquence cardiaque et le stress thermique et la perception subjective de l'inconfort. 21
Citation :
2 — ➤➤ Discussion : Cette première étude croisée randomisée évaluant les effets des masques chirurgicaux et des masques FFP2/N95 sur la capacité d'exercice cardiopulmonaire donne des résultats clairs. Les deux masques ont un impact négatif marqué sur les paramètres d'exercice tels que la puissance maximale de sortie (Pmax) et l'absorption maximale d'oxygène (VO2max/kg). Les masques FFP2/N95 présentent des effets négatifs plus prononcés que les masques chirurgicaux. Les deux masques réduisent considérablement les paramètres pulmonaires au repos (CVF, VEMS, DEP) et à la charge maximale (VE, BF, TV). [...]
Citation :
Fonction pulmonaire : [...] Les données de cette étude sont obtenues chez de jeunes volontaires en bonne santé, la déficience est susceptible d'être sensiblement plus importante, par exemple chez les patients atteints de maladies pulmonaires obstructives (réf). D'après nos données, nous concluons que le port d'un masque médical a un impact significatif sur les paramètres pulmonaires, tant au repos que pendant l'exercice maximal, chez des adultes en bonne santé.

Fonction cardiaque : [...] Ces données suggèrent une compensation myocardique [relative au tissu musculaire du cœur] pour la limitation pulmonaire chez les volontaires en bonne santé. Chez les patients dont la fonction myocardique est altérée, cette compensation peut ne pas être possible. 22
Les dommages psychologiques dans la population générale

Un domaine de recherche qui, dans l'examen des méfaits des masques, semble totalement absent est le large impact psychologique (et donc social) des politiques de port du masque obligatoire appliquées à la population en général.

La connaissance actuelle des besoins psychologiques fondamentaux de l'individu qui déterminent son bien-être est exprimée dans la théorie moderne connue sous le nom de « théorie de l'autodétermination » (TAD), qui est également la base scientifique de la motivation personnelle :
Citation :
« La théorie de l'autodétermination » (TAD) propose que certains besoins psychologiques évolués doivent être satisfaits pour que les individus puissent se développer au maximum de leur potentiel, de la même manière que les plantes ont besoin de nutriments clés pour prospérer (refs). La TAD pose trois besoins universels : l'autonomie, la compétence et la relation.

  • L'autonomie implique le besoin de faire l'expérience de son comportement comme étant librement choisi et volontaire, plutôt qu'imposé par des forces extérieures ;
  • La compétence implique le besoin de se sentir capable et efficace dans ses actions ;
  • La relation implique le besoin d'appartenance, d'intimité et de connexion avec les autres.

Les théoriciens de la TAD considèrent ces besoins comme des tendances motivationnelles générales qui s'étendent à tous les domaines de la vie et affirment que la satisfaction de ces trois besoins, et non pas seulement d'un ou deux, est essentielle au bien-être. Bien que l'expression ou les moyens de satisfaire ces besoins puissent varier selon les cultures, leur satisfaction est considérée comme essentielle pour le bien-être dans toutes les cultures. » 23
Il ne fait guère de doute que le port du masque obligatoire de la population en général risque fort de détériorer les trois besoins psychologiques fondamentaux de l'individu : l'autonomie, la compétence et la relation. Ce préjudice pour les individus et les implications sociétales n'ont pas été étudiés. L'impact peut être gargantuesque.

Jusqu'à présent, seuls les nourrissons et les écoliers ont été pris en compte dans la perspective de l'impact psychologique et développemental (comme décrit ci-dessous).

Le commentaire du 11 août 2020 de Scheid et al. n'est pas utile, car il néglige à tort les impacts physiologiques et examine la psychologie uniquement sous l'angle de la conformité au masque. 24
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