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 Bill Gates, Elon Musk, Rockefeller... Les soi-disant « vaccins » à ARNm, l'eugénisme, la dépopulation et la montée en puissance du transhumanisme 1/2

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flam7
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Bill Gates, Elon Musk, Rockefeller... Les soi-disant « vaccins » à ARNm, l'eugénisme, la dépopulation et la montée en puissance du transhumanisme 1/2 Empty
MessageSujet: Bill Gates, Elon Musk, Rockefeller... Les soi-disant « vaccins » à ARNm, l'eugénisme, la dépopulation et la montée en puissance du transhumanisme 1/2   Bill Gates, Elon Musk, Rockefeller... Les soi-disant « vaccins » à ARNm, l'eugénisme, la dépopulation et la montée en puissance du transhumanisme 1/2 Icon_minitimeDim 5 Sep - 20:14

Citation :
Note du traducteur : Cet article nous semble essentiel, non pas parce que l'auteur développe des aspects du totalitarisme eugénique et transhumaniste en cours qui n'auraient pas déjà fait l'objet de publications antérieurs — voir à cet effet les différents liens que nous en donnons tout au long de la traduction — mais parce qu'il articule tous ces aspects d'une manière qui donne à voir l'image de l'agenda, qui est tout sauf humaniste sous couvert de l'être, selon une meilleure et plus large perspective. En bref, l'auteur connecte les points.

Bonne lecture.
Le déploiement mondial des [soi-disant - NdT] « vaccins » anti-Covid-19 à ARNm fait partie d'un programme bien plus vaste qui englobe l'eugénisme et le transhumanisme. Ce programme est financé et promu par un réseau d'institutions mondiales, de politiciens et de technocrates milliardaires.
Bill Gates, Elon Musk, Rockefeller... Les soi-disant « vaccins » à ARNm, l'eugénisme, la dépopulation et la montée en puissance du transhumanisme 1/2 Ryan_matters_transhumanism_ess
© Inconnu
En 1989, des chercheurs du Salk Institute en Californie ont publié une étude expliquant comment ils avaient mis au point un système de transfection par ARN qui pouvait « directement introduire l'ARN dans des tissus entiers et dans des embryons ». Cette étude est la première à avoir décrit le concept d'utilisation de l'ARN en tant que médicament et a permis de poser les fondements de décennies de recherches ultérieures dans ce domaine. La section « Discussion » de l'article indique que :
Citation :
« La méthode ARN/lipofectine peut être utilisée pour introduire directement l'ARN dans des tissus entiers et des embryons (R.W.M., C. Holt et I.M.V., résultats non publiés), suggérant que la transfection de l'ARNm par les liposomes pourrait offrir une autre option dans la technologie croissante de l'administration de gènes eucaryotes, une option basée sur le concept de l'utilisation de l'ARN comme médicament. »
L'un des chercheurs du Salk Institute cités dans l'article est le Dr Robert W. Malone, un scientifique [biologiste moléculaire, épidémiologiste et spécialiste des maladies infectieuses - NdT] qui a récemment été censuré sur les médias sociaux [et dans les médias mainstream - NdT] pour avoir attiré l'attention sur les dangers possibles des [soi-disant - NdT] vaccins anti-Covid-19. On pourrait considérer qu'il n'existe aucun expert plus qualifié pour nous mettre en garde contre les dangers des injections d'ARNm que l'homme qui a contribué à mettre au point cette technologie. Néanmoins, Big Tech a décidé qu'il diffusait des « fausses informations », parce que, selon toute vraisemblance, ils en sauraient plus que lui sur le sujet.

Les recherches de Malone, qui ont abouti à une procédure permettant de « transfecter efficacement l'ARN dans les cellules humaines » à l'aide d'un « lipide cationique synthétique », ont été soutenues par des subventions de l'American Cancer Society et du National Institute of Health — qui détient aujourd'hui une participation dans le [soi-disant - NdT] vaccin anti-Covid-19 à ARNm de Moderna, preuve s'il en est de son allégeance à cette technologie. Nous y reviendrons plus tard.

Bien que les contributions de Malone au développement de la technologie de l'ARNm sont bien connues et bien documentées, Wikipedia a décidé de supprimer toute mention le concernant dans leur page « Vaccin à ARN », et ce peu de temps après que le scientifique ait commencé à s'exprimer sur les dangers des [soi-disant - NdT] vaccins anti-Covid-19 fabriqués en dans la précipitation. La version du 14 juin 2021 de la page en question mentionnait trois fois le nom de Malone et citait ses travaux six fois. La version actuelle de cette page ne le mentionne plus du tout et ne cite ses travaux que trois fois.

Toutefois, cela n'est pas surprenant compte tenu du parti pris avéré de Wikipedia en faveur de l'industrie pharmaceutique. Se pencher sur l'institution qui a initié la recherche — le Salk Institute — s'avère toutefois bien plus intéressant. Le Salk Institute, nommé d'après Jonas Salk, le créateur du vaccin Salk contre la polio, a été construit en 1962 grâce au financement de la National Foundation for Infantile Paralysis, aujourd'hui connue sous le nom de March of the Dimes.

La March of the Dimes a été créée en 1937 avec pour mission d'éradiquer la polio, à l'époque même où le courant eugéniste occupait sur la scène sanitaire des États-Unis une place déjà importante, mais pas encore popularisée. La théorie de l'eugénisme repose sur l'idée que la procréation sélective peut conduire à une « amélioration » progressive de la race humaine et que certaines familles sont aptes à diriger la société en vertu de leurs gènes « supérieurs ».

À l'époque, les principales organisations eugénistes du pays comprenaient l'American Eugenics Society et l'American Society of Human Eugenics, financées par les familles Rockefeller, Carnegie et Harriman, ainsi que par l'Institut Rockefeller pour la Recherche médicale. Il convient de noter que les Rockefeller ont contribué de façon décisive à financer et à promouvoir l'eugénisme dans le monde entier. Le mouvement eugéniste encourageait l'accouplement sélectif, l'insémination artificielle, la stérilisation obligatoire et l'euthanasie comme constituant des moyens importants d'éliminer les êtres humains dits « inférieurs ».

Aux États-Unis, la première loi sur la stérilisation a été adoptée en 1907, dans l'État de l'Indiana, et en 1931, de nombreux autres États avaient suivi le mouvement en promulguant des lois similaires. Selon les données historiques de l'État de l'Indiana :
Citation :
« En 1907, le gouverneur J. Frank Hanly a approuvé la première loi eugéniste de l'État rendant la stérilisation obligatoire pour certains individus placés sous la garde de l'État. »
Les personnes stérilisées en vertu de ces lois eugénistes étaient jugées « indésirables » en raison de déficiences mentales ou physiques telles que l'épilepsie, la cécité et les handicaps physiques, ainsi qu'en raison de « déficiences sociales » telles que la toxicomanie ou la criminalité. En vertu de ces lois et selon les estimations, environ 60 000 personnes ont ainsi été stérilisées, privées de leur droit d'avoir des enfants et cataloguées de manière irrévocable comme étant « faibles d'esprit ».

En fait, l'importance du mouvement eugéniste aux Etats-Unis était telle qu'elle a conduit le parti national-socialiste allemand à l'adopter, de sorte qu'à la fin de la Seconde Guerre mondiale, plus de 350 000 personnes avait été stérilisées par le régime nazi. Après la Seconde Guerre mondiale, les notions d'eugénisme ont disparu de la conversation publique, mais le mouvement ne s'est jamais dissipé. Au contraire, il a été « rebaptisé » en utilisant des termes plus acceptables tels que « contrôle de la population » et « santé de la procréation », comme nous le verrons plus loin.

L'émergence de la March of the Dimes en tant qu'acteur majeur du mouvement eugéniste aux États-Unis remonte à l'association précoce de l'organisation avec l'Institut Rockefeller, qui lui a fourni nombre de ses membres et conseillers clés, notamment le professeur Anton Julius Carlson, membre de l'American Eugenics Society, recruté pour faire partie des comités médicaux et de recherche de la March of the Dimes, et le professeur Clair E. Turner, autre membre de l'American Eugenics Society, qui était l'assistant de Basil O'Connor, lui-même alors président.

Juste avant la création de l'Institut Salk, le ministère de la Santé a annoncé qu'il allait supprimer progressivement ses programmes de lutte contre la polio et concentrer ses ressources sur les « anomalies congénitales ». En 1959, la March of the Dimes a financé des cours de « génétique médicale » au Jackson Laboratory dans le Maine, un institut de génétique fondé en 1929 par Clarence Cook Little, qui, « à un moment ou à un autre », a été président de l'American Eugenics Society, de l'American Birth Control League et de l'American Euthanasia Society.

La mission revendiquée du Jackson Laboratory est de
Citation :
« découvrir des solutions génomiques précises pour les maladies et de dynamiser la communauté biomédicale mondiale dans sa quête commune pour améliorer la santé humaine. »
Il convient de noter que le Jackson Laboratory a reçu un financement accru en 2020, en grande partie de l'Institut national de la santé, notamment une subvention de 10,6 millions de dollars afin de trouver des traitements pour lutter contre les maladies génétiques rares en utilisant les technologies d'édition de gènes. Et au début de la « pandémie » de coronavirus, ce même laboratoire s'est efforcé de développer des souris génétiquement modifiées pour les utiliser dans des études de vaccins et autres recherches liées au Sras-Cov-2.

À partir des années 1960, la March of the Dimes a financé plusieurs « Centres de prévention des malformations congénitales » situés dans des établissements médicaux disséminés à travers les États-Unis. Ces nouveaux centres proposaient des tests prénataux par amniocentèse pour déterminer si un bébé naîtrait avec des « malformations » et donnaient ensuite au couple la possibilité d'avorter l'enfant atteint de malformation(s).

La March of the Dimes a également fait des dons directs à Planned Parenthood [le planning familial - NdT], ce qui est en contradiction flagrante avec la mission qu'elle revendique, à savoir « lutter pour la santé de toutes les mamans et de tous les bébés ». Le Planned Parenthood est une organisation à but non lucratif qui fournit aux États-Unis et à l'étranger des « soins de santé en matière de reproduction ». De 2019 à 2020, l'organisation a pratiqué plus de 350 000 avortements et a été critiquée pour avoir « détourné les ressources prévues pour la santé des femmes au profit des avortements. » Sans surprise, un regard sur l'histoire de l'organisation révèle que les racines de Planned Parenthood reposent sur les idéaux eugénistes.

Le Planned Parenthood a été fondé par Margaret Sanger, qui, loin d'être une « activiste du contrôle des naissances », comme le courant dominant voudrait le faire croire, était une eugéniste raciste qui cherchait à débarrasser le monde de la race humaine jugée « inapte ». Dans son essai intitulé « Un plan pour la paix », elle décrit les principaux objectifs de sa proposition pour un « Congrès sur la population », à savoir
Citation :
« une politique sévère et rigide de stérilisation et de ségrégation à l'égard de la catégorie de population dont la progéniture est souillée ou dont l'héritage est tel que des traits répréhensibles peuvent être transmis à la progéniture. »
Elle mentionne également la nécessité de « contrôler l'entrée et la sortie des crétins, des déficients mentaux, des épileptiques. »
Citation :
Note du traducteur : Ce qui veut dire qu'il est nécessaire que le nombre des naissances d'individus « souillés » ne soit pas supérieur à celui des décès de ces mêmes individus. Notez l'expression particulièrement inhumaine « entrée et sortie ».
Comme nous l'avons mentionné plus haut, ces idéaux eugénistes ont inspiré les nazis qui ont repris nombre des idées de Sanger et les ont, pour ainsi dire, appliquées. Dans son livre The War Against the Weak, Edwin Black explique en détail comment la loi nazie de 1933 sur la stérilisation et les lois ultérieures sur l'euthanasie étaient basées sur des plans élaborés par Sanger et d'autres « militants » des États-Unis. En fait, les associés de Sanger connaissaient ces programmes d'euthanasie nazis et en faisaient l'éloge.

Pour en revenir au Salk Institute, il convient de noter que le récit dominant de l'épidémie de polio du XXe siècle, à savoir l'idée que la maladie est causée par un virus et que le vaccin miracle du Dr Salk a été le seul à mettre fin à l'épidémie, est douteux et probablement totalement faux.
Citation :
Note du traducteur : En effet, et vous pouvez vous reporter à cet article particulièrement fouillé que nous avons publié il y a un an : Enquête Choc — Les vaccins ont-ils vraiment sauvé l'humanité ?
La polio paralytique est apparue soudainement aux États-Unis au début des années 1900, avec des fluctuations continuelles et spectaculaires du nombre de cas — un schéma qui s'est poursuivi jusqu'à la fin des années 1950. L'introduction du vaccin Salk en 1954 a semblé coïncider avec le déclin presque instantané des cas, qui s'est poursuivi pendant plus de deux décennies.

Mais avant d'être appelées « polio » [poliomyélite - NdT], les affections impliquant une infirmité des membres étaient connues sous d'autres noms, notamment apoplexie, parésie et paralysie. De nombreux écrits historiques font référence à des paralysies résultant d'une exposition à des substances toxiques et beaucoup de ces récits ont été documentés par le Dr Ralph Scobey dans sa déclaration de 1952 au Comité d'enquête sur l'utilisation des produits chimiques dans les produits alimentaires, intitulée « Le poison en cause dans la poliomyélite et les obstacles à son investigation ».

L'article de Scobey fait référence à plusieurs enquêtes qui semblaient indiquer un lien entre les épidémies de polio au XXe siècle et la consommation de fruits frais, établissant ainsi un lien entre la polio et l'exposition aux pesticides toxiques. Un pesticide agricole largement utilisé à l'époque était le DDT, un organochloré hautement toxique dont on a beaucoup vanté les mérites, mais qui a finalement été interdit en 1972. En 1953, le Dr Morton Biskind a publié une étude dans l'American Journal of Digestive Diseases soulignant que :
Citation :
« McCormick (78), Scobey (100-101), et Goddard (57), dans des études détaillées, ont tous souligné que des facteurs autres que les agents infectieux sont certainement impliqués dans l'étiologie de la polio, allant de défauts nutritionnels à une variété de poisons qui affectent le système nerveux. »
Le danger des pesticides toxiques, dont le DDT, et leurs effets désastreux sur l'environnement ont été illustrés par Rachel Carson dans son livre de 1962, Printemps silencieux.
Citation :
Note du traducteur : Le Printemps silencieux est le concept repris par Stephanie Seneff pour présenter son livre sur les glyphosates, intitulé Toxic Legacy — How the Weedkiller Glyphosate Is Destroying Our Health and the Environment [« Héritage toxique — Comment le glyphosate désherbant détruit notre santé et l'environnement ou Le Printemps silencieux de notre temps, non traduit en français. Stephanie Seneff alerte de puis longtemps sur les effets hautement toxiques du Roundup, par exemple ;

  • Le Roundup serait la principale cause de la maladie cœliaque selon des chercheurs
  • Le Roundup accusé de causer cancers et Parkinson
  • Monsanto serait responsable de l'intolérance au gluten

Plus récemment, des chercheurs, Dan Olmstead, cofondateur de l'Ère de l'autisme, et Mark Blaxil, ont mené deux brillantes enquêtes sur les épidémies de polio du XXe siècle, aboutissant à une conclusion similaire à celle de Scobey et Biskind, à savoir que la maladie a été causée par l'utilisation généralisée de pesticides neurotoxiques tels que l'arsénite de soude et le DDT.

Bien que le vaccin de Salk ait été salué pour son efficacité, le vaccin lui-même a causé de nombreux cas de séquelles et de paralysies. Et bien qu'il semble exister une corrélation convaincante entre le moment où le vaccin a été administré et la réduction des cas de polio, comme tout bon scientifique le sait, la causalité n'est pas synonyme de corrélation, surtout si l'on tient compte du fait qu'au au cours de la même période, le DDT a été progressivement éliminé, du moins aux États-Unis.

Il est intéressant de noter que les recherches sur la polio du Dr Salk ont été financées par la mère de Cordelia Scaife May, une héritière de la fortune bancaire de la famille Mellon, qui a idéalisé Margaret Sanger et a ensuite rejoint le conseil d'administration de la Fondation internationale Planned Parenthood. Les opinions de May sur l'immigration étaient pour le moins radicales et, selon certains, elle était favorable à la stérilisation obligatoire comme moyen de limiter les taux de natalité dans les pays en développement. May a ensuite rejoint le conseil d'administration du Population Council, une organisation fondée par John D. Rockefeller III dont l'objectif principal consiste à réduire le nombre d'individus sur Terre. En 1995, le Population Council a collaboré avec l'OMS pour créer des vaccins destinés à réguler la fertilité.

Penser qu'aucune corrélation ne peut être faite entre l'épidémie de polio et l'« ère de la vaccination » dans laquelle nous nous trouvons serait une erreur. Au contraire, prétendre que la polio a été « éradiquée aux États-Unis » grâce à la seule vaccination est un mensonge qui a permis de gagner la faveur du public pour les vaccinations infantiles et a contribué à jeter les bases de la croyance généralisée en la sécurité et l'efficacité de tous les vaccins [ou supposés tels - NdT]. Des maladies telles que la polio et la variole — un autre mensonge qui dépasse le cadre de cet article — et la propagande pro-vaccins qui s'en est suivie, ont « conditionné » une grande partie de la population à accepter, sans poser de questions, une piqûre expérimentale basée sur une technologie encore bien mal comprise.

La déformation de la science

En 1997, huit ans après l'étude publiée du Salk Institute, la FDA a approuvé le tout premier essai d'ARN transfecté pour développer l'immunité chez les patients atteints de cancer. Le comité consultatif sur l'ADN recombinant de l'Institut national de la santé a quelques mois plus tard voté en faveur du maintien de l'approbation, ce qui a conduit aux toutes premières administrations de vaccins à base d'ARNm chez l'homme.

Bien que l'ARNm est présenté dans les médias comme la prochaine révolution dans le domaine de la santé, toute personne dotée de discernement peut s'alarmer à la lecture d'extraits tels que celui-ci, tiré d'un article sur l'histoire de l'ARNm, rédigé pour StatNews par Damian Garde, journaliste spécialisé dans les biotechnologies :
Citation :
« Le concept : En apportant des modifications précises à l'ARNm synthétique et en l'injectant aux gens, n'importe quelle cellule du corps pourrait être transformée en usine à médicaments à la demande. »
Toutefois, parler de cellules transformées en « usines à médicaments à la demande » est exactement le genre de techno-rhétorique dénuée de sens destinée à impressionner et à séduire un public non averti. Les [soi-disant - NdT] vaccins à ARNm reposent sur le concept suivant : un morceau d'ARNm synthétique est envoyé dans vos cellules, où il est utilisé comme modèle pour produire la « protéine Spike » [la même a priori que celle du virus Sras-CoV-2 - NdT]. Une fois que cette protéine quitte la cellule, l'organisme produit des anticorps et « apprend » à combattre les futures infections par le virus Sras-Cov-2.

Les [soi-disant - NdT] vaccins à base d'ARNm sont souvent présentés comme une alternative plus sûre aux [soi-disant - NdT] vaccins à base d'ADN qui, selon les experts [notamment Pascolo en 2004 selon le lien - NdT],
Citation :
« peuvent déclencher des modifications permanentes et dangereuses de l'information génétique des personnes traitées. »
Cependant, avons-nous la certitude que les [soi-disant - NdT] vaccins à ARNm ne modifient pas de façon permanente la composition génétique de nos cellules ? Une étude de 2001 intitulée « L'ARN comme vaccin contre les tumeurs : une revue de la littérature », affirme que (c'est l'auteur qui souligne) :
Citation :
« Contrairement aux vaccins à base d'ADN, le risque d'incorporation de séquences d'ARN dans le génome de l'hôte est faible. »
L'utilisation du mot « faible » semble indiquer qu'il peut au moins exister un certain danger d'intégration du génome, ou plus probablement, que les chercheurs ne savent tout simplement pas.
Citation :
Note du traducteur : Voir pour ce qui précède les articles suivants ::

  • CRIIGEN — Note d'expertise grand public sur les vaccins ayant recours aux technologies de modifications génétiques des organismes
  • Les « vaccins » nouvelle génération et le Covid-19 — Interview intégrale du Docteur Christian Vélot (Mise à jour de la vidéo censurée)

Dans l'étude d'« opinion d'expert » de Pascolo de 2004 cité plus haut, il souligne le lien entre les [soi-disant - NdT] vaccins à ARNm et les thérapies géniques, lien qui est continuellement nié et rejeté par le courant dominant :
Citation :
« Bien que situé dans le cytosol et non dans le noyau, l'ARNm mature appartient à la famille biochimique des acides nucléiques. L'ARNm, comme l'ADN, peut être considéré comme un gène et, par conséquent, son utilisation comme vaccin peut être considérée comme une « thérapie génique ». »
Il est intéressant de noter que c'est uniquement en raison d'une technicité du droit réglementaire que les thérapies géniques Covid-19 sont autorisées à être appelées « vaccins ». Ceci est expliqué dans un document intitulé « L'environnement réglementaire européen des vaccins à base d'ARN », qui stipule que :
Citation :
« La définition d'un médicament de thérapie génique telle qu'elle figure à l'annexe 1 de la directive 2001/83/CE est la suivante :

On entend par médicament de thérapie génique un médicament biologique qui présente les caractéristiques suivantes :

(a) il contient une substance active qui contient ou consiste en un acide nucléique recombinant utilisé chez l'homme ou administré à celui-ci en vue de réguler, réparer, remplacer, ajouter ou supprimer une séquence génétique ;

(b) son effet thérapeutique, prophylactique ou diagnostique est directement lié à la séquence d'acide nucléique recombinant qu'il contient, ou au produit de l'expression génétique de cette séquence.

Les médicaments de thérapie génique ne comprennent pas les vaccins contre les maladies infectieuses. »
Comme on s'en doute, le simple fait d'appeler une thérapie génique un « vaccin contre une maladie infectieuse » annule sa classification en tant que thérapie génique, dont le processus d'approbation, du moins en Europe, implique de passer par le CAT qui est le « Comité des thérapies avancées » de l'EMA (Agence européenne des médicaments). De toute évidence, ce jeu de langage semble constituer une sorte de « faille », qui permet d'approuver plus facilement les thérapies géniques à base d'ARNm prévues pour un usage humain.
Citation :
Note du traducteur : Ce jeu de langage n'est pas fortuit, loin s'en faut. Il constitue ce que James Lindsay a brillamment exposé dans son article majeur La psychopathie et les origines du totalitarisme, comme étant les pseudo-réalités académiques, la paralogie idéologique et la paramoralité idéologique.
Cette approbation constitue certainement un sujet controversé lorsqu'on l'aborde dans le contexte des [soi-disant - NdT] vaccins anti-Covid-19 actuels — dont la plupart n'ont pas été entièrement approuvés par la FDA, mais seulement autorisés dans le cadre d'une utilisation d'urgence, et étiquetés comme étant des produits « expérimentaux », un fait que beaucoup de gens ignorent. Cependant, au début de l'année, les fabricants de vaccins se sont déjà fixé pour objectif d'obtenir une approbation réglementaire complète, après seulement six mois d'essais. Le 7 mai, Pfizer a officiellement déposé sa demande auprès de la FDA, dans le but d'obtenir le tout premier vaccin covid-19 pleinement autorisé. Et le 23 août, cette autorisation lui a été accordée par la FDA. Mais avec des millions de vaccins déjà administrés sous autorisation de mise sur le marché conditionnelle, pourquoi tant de hâte ?

En outre, pour les six vaccins « pionniers dans le traitement d'une maladie » qui ont été approuvés par la FDA au cours des quinze dernières années, la durée médiane des essais flirtait avec un timide délai de deux ans. L'approbation d'un vaccin après six mois de données est l'une des plus rapides jamais enregistrées. Bien que les essais cliniques de phase trois de Pfizer, Moderna et Janssen aient tous une durée de deux ans [et qu'ils sont donc en cours - NdT], la FDA a pris soin de ne jamais énoncer clairement sa position quant au suivi clinique minimum avant d'envisager l'approbation.

Pour évaluer la sécurité des vaccins, des essais plus longs, contrôlés par placebo, sont primordiaux. Il est donc extrêmement alarmant que les fabricants de vaccins, quelques semaines après avoir reçu l'autorisation d'utilisation d'urgence, aient commencé à pervertir les essais en offrant aux personnes du groupe placebo la possibilité de se faire « vacciner ». Moderna a annoncé que
Citation :
« depuis le 13 avril, tous les participants au groupe placebo se sont vus proposer le vaccin Moderna anti-Covid-19 et 98 % d'entre eux ont reçu le vaccin ».
Ce qui signifie que leur groupe placebo n'existe plus et qu'ils n'ont donc aucun moyen de mesurer avec précision la sécurité à long terme. Il en va de même pour Pfizer.

Dans une étude du British Medical Journal, Peter Doshi cite la FDA qui, à plusieurs reprises, a déclaré que le maintien d'un groupe placebo serait essentiel pour évaluer à la fois la sécurité et l'efficacité des [soi-disant - NdT] vaccins anti-Covid-19, ce qui est évident pour quiconque comprend les conséquences du non-respect de la rigueur scientifique lors de l'essai d'une nouvelle thérapie médicale. En effet, sur plus de 200 médicaments approuvés par la FDA entre 2000 et 2010, un tiers d'entre eux se sont avérés présenter de sérieux problèmes de sécurité.

En réalité, les fabricants pourraient avoir de nombreuses raisons de vouloir obtenir l'approbation de la FDA pour leurs [soi-disant - NdT] vaccins, mais la première de ces raisons est probablement le « cachet d'approbation » qui accompagne l'homologation complète et la possibilité de l'utiliser pour convaincre ceux qui restent sceptiques quant à leur sécurité et à leur efficacité. De plus, l'approbation complète de la FDA ouvrirait la voie à des obligations vaccinales plus simples à mettre en œuvre, ce qui mettrait une pression énorme sur les personnes qui composent la « classe éveillée » et qui représentent une épine dans le pied des promoteurs de l'agenda de la Grande Réinitialisation/Grande Convergence.

Dans le processus d'évaluation et d'approbation de ces [soi-disant - NDT] vaccins expérimentaux conduit par la FDA, des incohérences encore plus inquiétantes peuvent être trouvées. Par exemple, la FDA a récemment mis en garde contre l'utilisation de tests d'anticorps pour évaluer l'immunité ou la protection contre le Covid-19, « en particulier » après qu'une personne ait reçu une injection bien que l'autorisation européenne de mise sur le marché ait été accordée à l'origine, en partie, en raison de ces mêmes réponses aux anticorps. Les implications de ce revirement sont que l'autorisation européenne de mise sur le marché conditionnelle accordée pour les [soi-disant - NdT] vaccins contre le covid-19 devrait également être annulée, mais quelle est la probabilité que cela se produise alors que des millions de personnes ont déjà été injectées ?

En outre, l'idée que les « anticorps » assurent une protection contre les infections dites virales témoigne d'une mauvaise compréhension du corps et du système immunitaire. Le fait que les anticorps ne jouent pas un grand rôle dans les infections virales est connu des scientifiques médicaux depuis les années 1950, sur la base de recherches montrant que les personnes atteintes d'une incapacité génétique à produire des anticorps, appelée « agammaglobulinémie », ont des réactions normales aux infections virales typiques et semblent même résister aux récidives.
Citation :
Note du traducteur : Il est important de préciser que notre organisme dispose de deux systèmes immunitaires : l'inné et l'adaptatif. C'est l'adaptatif qui produit des anticorps — qui sont des défenses spécifiques et ciblées — et il n'est que la barrière secondaire par lequel notre corps interagit avec les virus :
Citation :
« Le système immunitaire inné est le moyen initial et principal par lequel notre corps interagit avec un virus. Le système inné aide le corps à trouver un équilibre génétique à chaque nouvelle mise à jour virale qui lui est présentée. Le corps n'a pas besoin de répliquer ou de reproduire les nouvelles informations virales après plus de 4 ou 5 jours de mises à jour. [Il] fonctionne sur des limites saines dans le corps humain, telles que les barrières physiques entre l'intestin et la circulation sanguine, ou sur les vaisseaux sanguins qui régulent étroitement le mouvement des ions, des molécules et des cellules entre la circulation sanguine et le cerveau (appelée barrière hémato-encéphalique), ou au niveau génétique de nos cellules (comme les protéines mutagènes dans nos cellules). En outre, le système immunitaire inné fonctionne à travers une variété d'enzymes [qui] sont maintenant considérées comme centrales à l'immunité innée.

Le système immunitaire adaptatif est le moyen secondaire par lequel notre corps interagit avec les virus. [Il] monte une réponse très spécifique à un virus en utilisant les globules blancs du corps, connus sous le nom de lymphocytes (cellules B et lymphocytes T). Les lymphocytes B sont responsables de la libération d'anticorps dans la circulation sanguine. Les anticorps sont la deuxième méthode d'interaction de l'organisme — et non la première — avec un virus après qu'il ait reçu une nouvelle mise à jour virale ou après qu'il ait développé un déséquilibre avec un virus particulier. Les anticorps sont des défenses spécifiques et ciblées. Ils apparaissent généralement sur les lieux 3 à 6 semaines après l'exposition initiale du corps à un virus. En termes simples, les anticorps agissent comme une équipe de nettoyage, aidant le corps à nettoyer les virus et les bactéries qui ne sont plus nécessaires. Pendant ce temps, les lymphocytes T sont responsables de la stimulation des lymphocytes B à fabriquer des anticorps.
»
Source : « Notre espèce est génétiquement modifiée » — L'humanité est-elle en marche vers l'extinction ? Première partie : Analyse du microbiome et du virome
Quoiqu'il en soit, les deux systèmes immunitaires semblent plus ou moins — selon les individus et la force ou la faiblesse initiale du système immunitaire inné — affectés par les injections, surtout si elles sont répétées.

Voir aussi :

  • Les fondements de la théorie vaccinale s'effritent car la science révèle l'inutilité des anticorps pour combattre les virus
  • Le Dr David Bauer : « L'injection de Pfizer fait baisser les défenses immunitaires »
  • Stephanie Seneff, chercheuse au MIT : « Je pense que les personnes vaccinées seront désavantagées par rapport aux personnes non vaccinées »

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Bill Gates, Elon Musk, Rockefeller... Les soi-disant « vaccins » à ARNm, l'eugénisme, la dépopulation et la montée en puissance du transhumanisme 1/2
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