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 Bill Gates, Elon Musk, Rockefeller... Les soi-disant « vaccins » à ARNm, l'eugénisme, la dépopulation et la montée en puissance du transhumanisme 2/2

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flam7
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Bill Gates, Elon Musk, Rockefeller... Les soi-disant « vaccins » à ARNm, l'eugénisme, la dépopulation et la montée en puissance du transhumanisme  2/2 Empty
MessageSujet: Bill Gates, Elon Musk, Rockefeller... Les soi-disant « vaccins » à ARNm, l'eugénisme, la dépopulation et la montée en puissance du transhumanisme 2/2   Bill Gates, Elon Musk, Rockefeller... Les soi-disant « vaccins » à ARNm, l'eugénisme, la dépopulation et la montée en puissance du transhumanisme  2/2 Icon_minitimeDim 5 Sep - 20:11

Bill Gates, Moderna et l'eugénisme 2.0

L'un des fabricants de [soi-disant - NdT] vaccins anti-Covid-19 dont il est le plus fait mention dans les médias est Moderna, une société de biotechnologie cofondée par Robert Langer, chercheur et inventeur au MIT. En 2013, la startup de biotechnologie a reçu un financement de 25 millions de dollars de la part de la DARPA (Defense Advanced Research Projects Agency), un organe de recherche du ministère de la Défense des États-Unis, et une organisation bien connue pour sa quête incessante de technologies dystopiques et transhumanistes, telles que les nanoparticules implantables et les interfaces bio-cérébrales — nous y reviendrons.

Il convient de noter que le gouvernement des États-Unis, par l'intermédiaire du National Institute of Health, s'avère avoir un intérêt financier dans le [soi-disant - NdT] vaccin Moderna grâce à un contrat signé par les deux parties, donnant au NIH la propriété conjointe des candidats vaccins à ARNm de Moderna. Selon Axios :
Citation :
« Le NIH finance principalement des recherches extérieures, mais il invente aussi souvent des technologies scientifiques fondamentales qui sont ensuite cédées sous licence et incorporées dans des médicaments vendus avec des bénéfices colossaux. »
Ceci est plus qu'alarmant étant donné que le NIH est chargé de donner la priorité aux traitements prometteurs pour soigner le Covid-19 et d'améliorer l'efficacité des essais cliniques, ce qui, pour Moderna, est impossible étant donné que leur essai ne contient plus de groupe de témoin. L'intérêt direct du NIH à ce que Moderna prospère peut également expliquer de manière plausible pourquoi la start-up biotechnologique a reçu l'autorisation de mise sur le marché conditionnelle de son [soi-disant - NdT] vaccin alors qu'elle n'a pas réussi, pendant plus de dix ans [et donc depuis qu'elle existe - NdT], à mettre un seul produit sur le marché.

Lors d'une interview pour Economic Club, le directeur du NIH, Francis Collins, a nié que les [soi-disant - NdT] vaccins anti-Covid-19 permettraient de gagner de l'argent, déclarant que « personne ne voit cela comme un moyen de gagner des milliards de dollars ». Cependant, les preuves montrent le contraire, puisque les ventes des [soi-disant - NdT] vaccins anti-Covid-19 de Moderna ont atteint 1,7 milliard de dollars au premier trimestre 2021, faisant de leur PDG, Stéphane Bancel, l'un des nombreux nouveaux milliardaires de l'industrie pharmaceutique.

« Operation Warp Speed » [à la vitesse de l'éclair - NdT], le nom donné à un partenariat entre plusieurs agences fédérales des États-Unis visant à accélérer le développement d'un [soi-disant - NdT] vaccin contre le Covid-19, a également été marqué par des conflits d'intérêts. L'administration chargée de l'Operation Warp Speed a engagé plusieurs « consultants » ayant des liens avec Big Pharma, dont deux anciens cadres de Pfizer. Et en mai 2020, il a été rapporté que leur conseiller principal, le Dr Monsef Slaoui, lui-même ancien cadre de l'industrie pharmaceutique, détenait 10 millions de dollars d'actions GlaxoSmithKline, la même société qui a ensuite obtenu un contrat de 2 milliards de dollars pour fournir au gouvernement des États-Unis 100 millions de flacons pour contenir le [soi-disant - NdT] vaccin anti-Covid-19. Le Dr Slaoui détenait également un nombre important d'actions de la société Moderna, à laquelle le gouvernement fédéral a accordé un financement de plus de 2,5 milliards de dollars.

Le cofondateur de Moderna, Robert Langer, qui dispose d'avoirs dont la valeur nette a également explosé pour atteindre des milliards, est l'un des chercheurs les plus cités au monde. Scientifique au MIT, Langer détient plus de 1 400 brevets et est spécialisé dans la biotechnologie, la nanotechnologie, l'ingénierie tissulaire et l'administration de médicaments. En outre, Langer occupe un poste administratif au Media Lab du MIT, le même institut qui a fait l'objet d'un scandale après la découverte d'un financement octroyé à ce même laboratoire par Jeffrey Epstein, un prédateur sexuel condamné. Il se trouve qu'Epstein entretenait également une fascination troublante pour le « transhumanisme », une version moderne de l'eugénisme — le transhumanisme est abordé plus loin dans cet article.

Le directeur du MIT Media Lab de l'époque, Joi Ito, a ensuite approuvé deux donations d'Epstein pour un montant de 1,75 million de dollars et a permis au pédophile prolifique de « diriger » vers le laboratoire des fonds provenant d'autres riches bienfaiteurs, y compris une donation de 2 millions de dollars de Bill Gates, lequel entretient également des liens troublants avec Epstein, ayant voyagé dans son jet privé et l'ayant rencontré à plusieurs reprises. Lorsque la nouvelle a éclaté et que Joi Ito a démissionné de son poste au laboratoire, Langer a été l'une des premières personnes à signer une lettre lui demandant de rester, et en tant qu'administrateur du bureau du directeur du laboratoire, il est difficile de croire qu'il n'était pas déjà au courant des dons d'Epstein.
Citation :
Note du traducteur : Au sujet de ce qui précède, voir les articles suivants :

  • Bill Gates refuse de révéler pourquoi il a volé à bord du « Lolita Express » avec Jeffrey Epstein quatre ans après sa libération de prison
  • La dissimulation continue : La vérité sur Bill Gates, Microsoft et Jeffrey Epstein
  • Interview de Reiner Fuellmich — Whitney Webbs descend Google, Epstein, Gates et toute la Silicon Valley
  • Les relations financières de Bill Gates avec Jeffrey Epstein

Décrit comme le « dénominateur commun » au sein d'initiatives multiples axées sur le coronavirus, Robert Langer est sans conteste un acteur du mouvement transhumaniste qui ne manque pas de nous intéresser. En 2015, sa société, Microchips Biotech, s'est associée au géant pharmaceutique israélien, Teva Pharmaceutical, pour commercialiser son « dispositif implantable d'administration de médicaments » [dispositif qui assure la libération prolongée d'un médicament pendant la durée souhaitée, généralement sur des périodes de plusieurs mois ou années - NdT]. Il convient de noter que Teva Pharmaceutical a reçu des investissements importants de Warren Buffett, qui, en 2006, s'est engagé à faire progressivement don de sa fortune à la Fondation Bill & Melinda Gates, une organisation dont il était administrateur jusqu'à très récemment.

Langer a également des liens avec Charles Lieber, un scientifique de Harvard spécialisé dans les nanotechnologies qui a été arrêté en janvier pour avoir fait de fausses déclarations aux autorités fédérales concernant sa collaboration avec des scientifiques chinois de l'université de Technologie de Wuhan. En 2012, Langer et Lieber ont travaillé ensemble pour créer un « matériau qui fusionne l'électronique à l'échelle nanométrique avec les tissus biologiques ». Ce matériau a été décrit comme « un premier pas vers des prothèses qui communiquent directement avec le système nerveux ».

Une grande partie des recherches de Langer sont soutenues par Bill Gates, qui a commencé à financer la technologie ARNm en 2010 et a également investi des millions dans Moderna. En 2017, la Fondation Bill & Melinda Gates a parrainé un projet du laboratoire de Langer visant à créer un système d'administration de vaccins par microparticules qui pourrait générer un « nouveau type de particule porteuse de médicament », permettant d'administrer plusieurs doses d'un vaccin sur une période prolongée avec une seule injection. Puis, en 2019, Gates et Langer se sont à nouveau associés pour créer un tatouage à l'encre invisible qui « incorpore les dossiers de vaccination dans la peau d'un enfant ». De manière tout à fait préoccupante, l'objectif à terme du projet est d'injecter des capteurs qui pourront être utilisés pour suivre « d'autres aspects » de la santé.

Gates prétend avoir besoin de ces données pour « prévenir les maladies » et le dit en se référant à ses efforts pour éradiquer dans le monde la polio, la rougeole et d'autres maladies « infectieuses ». Cependant, les diverses initiatives « sanitaires » de Gates dans les pays en développement ne sont pas l'œuvre d'un philanthrope bienveillant, comme les médias voudraient nous le faire croire. Au contraire, tout porte à croire que l'engagement de Bill Gates dans le domaine de la santé publique représente la poursuite d'un programme eugénique de longue date, caché au grand jour. Les liens de Bill Gates avec le mouvement eugéniste commencent avec son père, qui a fait l'éloge des Rockefeller pour leur travail dans le domaine de la « santé publique » et les a même rencontrés en 2000 pour discuter de questions relatives aux maladies infectieuses, aux vaccins et à l'environnement. Au cours de cette rencontre, William Gates senior aurait déclaré :
Citation :
« Prenant exemple et s'inspirant du travail déjà accompli par la Fondation Rockefeller, notre fondation a en fait lancé GAVI en promettant 750 millions de dollars à un instrument appelé Fonds mondial pour les vaccins destinés aux enfants, un instrument de GAVI. »
Il est intéressant de noter que, près de dix ans après cette réunion, Bill Gates junior a co-organisé une réunion avec David Rockefeller consacrée à la réduction de la population.

Ce qui est peut-être encore plus révélateur, c'est qu'en 2012, Bill et Melinda Gates ont organisé leur Sommet de Londres sur le planning familial, où ils ont annoncé leur engagement en faveur du contrôle de la population dans le tiers-monde, à l'occasion du 100e anniversaire du Premier congrès international sur l'eugénisme, qui s'est également tenu à Londres.

Bill Gates est bien connu pour son obsession des vaccins, une quête curieuse si l'on considère que les 9 000 000 de personnes qui meurent chaque année de la faim seraient mieux servies si elles disposaient d'eau potable, d'un approvisionnement en nourriture, d'équipements d'assainissement convenables et un environnement sain. En 2009, la Fondation Gates a financé des études d'observation en Inde pour un vaccin controversé contre le cancer du col de l'utérus, le « Gardasil », qui a été administré à des milliers de jeunes filles. En quelques mois, de nombreuses jeunes filles ont commencé à tomber malades et, au bout d'un an, cinq d'entre elles étaient décédées. Au cours d'une étude similaire portant sur une autre marque de vaccin contre les papillomavirus humains, de nombreuses jeunes filles ont été hospitalisées et deux autres sont décédées. The Economic Times of India a publié en 2014 un rapport sur ce sujet, avec la révélation choquante suivante :
Citation :
« Dans de nombreux cas, le consentement à la réalisation de ces études a été obtenu auprès des directeurs de foyers, ce qui constitue une violation flagrante des normes. Dans de nombreux autres cas, l'empreinte du pouce de leurs parents pauvres et analphabètes était dûment apposée sur le formulaire de consentement. Les enfants n'avaient également aucune idée de la nature de la maladie en question pas plus que celle du vaccin. Dans un très grand nombre de cas, les autorités concernées n'ont pas pu fournir les formulaires de consentement requis pour les enfants vaccinés. »
Citation :
Note du traducteur : Plus exactement, c'est le Sama — une ONG basée à Delhi qui défend la santé des femmes — qui a finalement porté l'affaire à l'attention des médias indiens et, face au déluge de réactions négatives, le Conseil indien de la recherche médicale a suspendu le projet Path à l'origine de cette expérimentation.
Citation :
« Path — anciennement connu comme le Program for Appropriate Technology in Health [Programme de technologie appropriée en santé - NdT] — est une ONG basée à Seattle, largement financée par la Fondation Bill & Melinda Gates mais qui reçoit également d'importantes subventions du gouvernement des États-Unis. Entre 1995 et le jour de la rédaction de cet article (mai 2021), Path a reçu plus de 2,5 milliards de dollars de la Fondation Bill & Melinda Gates.
[...]
C'est alors que la commission permanente de la santé du Parlement indien [url=https://ia801803.us.archive.org/34/items/indian-parliament-report-on-hpv-trial-studies-conduct/Alleged Irregularities in the Conduct of Studies using HPV.pdf]a commencé à enquêter sur l'affaire[/url] et le 17 mai de la même année, Sama a produit un rapport accablant soulignant, entre autres, que les essais avaient été présentés comme un programme de vaccination gouvernemental et non comme un projet de recherche, que les filles n'avaient pas été informées qu'elles pouvaient choisir de ne pas participer aux essais, et que le consentement parental n'avait pas été demandé ni donné dans de nombreux cas.

[...] la commission a confirmé la véracité des allégations de Sama, en constatant que la majorité des formulaires de consentement n'étaient signés ni par les enfants ni par leurs parents, que nombre d'entre eux étaient postdatés ou n'étaient pas datés du tout, que plusieurs formulaires avaient été signés par les mêmes personnes — souvent des membres du personnel des foyers où vivaient les jeunes filles — et que de nombreuses signatures ne correspondaient pas au nom figurant sur le formulaire. L'enquête a révélé que les parents n'avaient pas reçu d'informations quant à la nécessité de cette vaccination, à ses bénéfices et inconvénients ou à ses potentiels effets secondaires. »

Source : Comment Bill Gates et Big Pharma ont utilisé des enfants comme « cobayes »... sans être inquiétés par la justice
Le rapport du Comité permanent de la santé du Parlement indien peut être consulté ici.

Voir aussi :

  • Robert F. Kennedy Jr. : « Le programme de vaccination globaliste et dictatorial de Bill Gates »
  • Dépeuplement, ID2020 et preuve d'immunité numérique - La doctrine agressive de la Fondation Gates pour une vaccination massive

Également en Inde, Bill Gates a promu un vaccin oral contre la polio, après s'être efforcé d'y éradiquer la maladie. Cependant, comme nous l'avons vu précédemment dans cet article, des produits chimiques toxiques sont impliqués dans l'étiologie de la polio et la maladie ne peut donc pas être éradiquée par l'utilisation de vaccins. En fait, les chiffres de la santé mondiale indiquent que plus de cas de polio sont maintenant causés par les vaccins eux-mêmes que toute autre chose. En 2018, un groupe de courageux scientifiques indiens a publié une étude dans l'International Journal of Environmental Research and Public Health montrant une corrélation entre les distributions du vaccin oral contre la polio et l'augmentation des cas de « paralysie flasque aiguë » [aussi appelé logiquement « syndrome de pseudo-polio » - NdT], une condition décrite comme « cliniquement indiscernable » de la polio.

Ironie du sort, Bill Gates a investi 23 millions de dollars dans Monsanto, la société qui commercialise le Roundup, un pesticide contenant du glyphosate et connu pour ses effets néfastes sur la santé, avec notamment des troubles neurologiques et des paralysies [comme Alzheimer et Parkinson, la liste est trop longue pour citer tous les troubles dus au Roundup, mais on notera tout de même que la liste inclut des affections respiratoires - NdT].

Si beaucoup pensent que Gates donne son argent de manière désintéressée pour financer ces campagnes de vaccination, il convient de noter que ses investissements dans les vaccins lui ont rapporté des sommes considérables. En 2019, la Fondation Bill & Melinda Gates avait fait don d'un peu plus de 10 milliards de dollars à diverses initiatives liées aux vaccins, dont GAVI (l'Alliance mondiale pour les vaccins et la vaccination). Bill Gates l'a qualifié de « meilleur investissement qu'il ait jamais fait », estimant un rendement de 20-1, soit environ 200 milliards de dollars sur vingt ans. En effet, la valeur nette de la fortune de Bill Gates a plus que doublé au cours des dix dernières années.

Et n'oublions pas que plus de la moitié des décès dans les pays à revenu faible ou intermédiaire sont dus à des maladies non transmissibles, auxquelles la Fondation Bill et Melinda ne semble guère s'intéresser, puisqu'elle y consacre moins de 3 % de son budget.

En outre, les activités de Bill Gates dans le domaine de la santé publique sont entachées de conflits d'intérêts qui sembleraient remettre en question l'idée qu'il se soucie de la santé des populations. Nombre de ces conflits d'intérêts sont décrits par David Stuckler, scientifique à Harvard, dans une étude publiée dans PLOT Medecine et intitulée « Philanthropie en santé mondiale et relations institutionnelles : comment traiter les conflits d'intérêts ? », dans laquelle il affirme que :
Citation :
« À titre d'exemple, nous avons constaté que la Fondation Bill & Melinda Gates détient des participations importantes dans la société Coca-Cola, et participe également à des subventions qui encouragent les communautés des pays en développement à devenir des filiales commerciales de Coca-Cola. Certains commentateurs ont noté que les boissons sucrées telles que celles produites par Coca-Cola sont en corrélation avec l'augmentation rapide de l'obésité et du diabète dans les pays en développement. »
Il ajoute :
Citation :
« De nombreuses subventions de développement pharmaceutique de la Fondation peuvent bénéficier à des sociétés pharmaceutiques de premier plan telles que Merck et GlaxoSmithKline. [...] Plusieurs subventions sont liées à des entreprises qui sont représentées au sein de son conseil d'administration en tant qu'investisseurs de la Fondation. »
Les médias font rarement état de ces conflits d'intérêts inquiétants, ce qui n'est pas surprenant puisque Gates finance tous les grands organes d'information.
Citation :
Note du traducteur : Y compris en Europe et notamment en France avec Le Monde. Voir aussi nos articles :

  • Corruption dans les systèmes de santé du monde entier — Un secret de polichinelle
  • Bill Gates dicte aussi et en toute discrétion la politique alimentaire mondiale, et plus encore

Qualifier l'injection imprudente et généralisée des [soi-disant - NdT] vaccins expérimentaux anti-Covid-19 d'initiative imprégnée de pensée eugéniste n'aurait rien de saugrenu compte tenu du nombre de personnalités et d'institutions impliquées dans la course au [soi-disant - NdT] vaccin qui ont des liens avec le mouvement eugéniste. En fait, les concepteurs du [soi-disant - NdT] vaccin Oxford-AstraZeneca sont également liés à la aujourd'hui re-nommée British Eugenics Society, fondée par le père de l'eugénisme, Francis Galton. Ces liens sont détaillés par la journaliste d'investigation Whitney Webb dans son article intitulé « Les concepteurs du vaccin Oxford-AstraZeneca liés au mouvement eugéniste britannique ».
Citation :
Note du traducteur : Cet article est disponible en français ici. Et à propos de Francis Galton, vous pouvez vous référer aux articles suivants :

  • Eugénisme et contrôle de l'humanité — Les plans des élites sont purement et simplement démoniaques
  • La Fabian Society et la doctrine pour le Nouvel ordre mondial

Lorsqu'il s'agit de protéger la santé publique, la témérité dont font preuve les politiciens, les scientifiques et les entreprises pharmaceutiques est impardonnable compte tenu de l'impact généralisé qu'auront ces [soi-disant - NdT] vaccins expérimentaux. Nous avons déjà commencé à voir les résultats du déploiement d'une technologie de thérapie génique dangereuse sur un public naïf et confiant, le VAERS (Vaccine Adverse Events Reporting System) montrant plus de décès liés aux [soi-disant - NdT] vaccins anti-Covid-19 que tous les autres vaccins réunis au cours des 30 dernières années.
Citation :
Note du traducteur : En effet,

Bill Gates, Elon Musk, Rockefeller... Les soi-disant « vaccins » à ARNm, l'eugénisme, la dépopulation et la montée en puissance du transhumanisme  2/2 Lm1_0

La mortalité associée aux vaccins aux États-Unis de 1990 à 2021
Rien de tout cela n'est surprenant, compte tenu de la hâte avec laquelle les essais cliniques ont été menés et des nombreux points d'interrogation relatifs à la fiabilité des données rapportées. Par exemple, les fabricants de ces [soi-disant -NdT] vaccins ont déclaré que leurs « produits » étaient « efficaces à 95 % », un chiffre qu'ils ont obtenu en utilisant une réduction du risque relatif plutôt qu'une réduction du risque absolu, lequel était d'environ 1 % dans la plupart des cas, un fait qui n'a jamais été souligné par les médias grand public.

En outre, les phases d'essai précédentes de ces produits n'ont pas été conçus pour évaluer leurs effets sur l'infection, la transmission, les hospitalisations ou les décès, ce qui laisse perplexe étant donné que ces paramètres sont justement ceux qui auraient dû être prioritaires si nous faisions vraiment face à une pandémie virale. Encore que ceci peut être un geste calculé de la part des fabricants de ces [soi-disant - NdT] vaccins, qui savaient qu'ils auraient plus de chances de truquer les résultats en utilisant le critère principal de « Covid-19 quelle que soit sa gravité ». Après tout, l'augmentation spectaculaire des injections antigrippales n'a pas été associée à une diminution de la mortalité.

Peter Doshi, un rédacteur du British Medical Journal, a remis en question de nombreux aspects de ces essais vaccinaux pour le moins controversés, notamment la possibilité que les analgésiques masquent les symptômes du Covid-19 dans les différents groupes d'essai, ainsi que la [soi-disant - NdT] objectivité des « Comités d'adjudication des effets primaires » chargés de compter les cas de Covid-19. Dans le cas de Pfizer, ce comité était composé d'employés de Pfizer.
Citation :
Note du traducteur : Ces comités doivent appliquer, a priori, la procédure par laquelle les événements cliniques identifiés comme des critères d'évaluation potentiels sont soumis à un panel d'experts indépendants pour être évalués en aveugle.
Récemment, le Doctors for Covid Ethics, un groupe composé du Dr Michael Palmer, du Dr Sucharit Bhakdi et du Dr Stefan Hockertz, a publié une déclaration d'experts concernant le danger et l'efficacité du [soi-disant - NdT] vaccin Pfizer, déclaration qui a été transmise dans le cadre d'un procès contestant l'autorisation par l'Union européenne de l'utilisation du [soi-disant - NdT] vaccin pour les enfants de 12 ans et plus. Le document indique que l'efficacité déclarée du produit à ARNm de Pfizer était « selon toute vraisemblance complètement frauduleuse » et que
Citation :
« Pfizer, l'Agence européenne des Médicaments et la FDA ont systématiquement négligé les preuves issues d'essais précliniques effectués sur des animaux qui mettaient clairement en évidence les graves dangers d'effets indésirables. »
Citation :
Note du traducteur : En ce qui concerne les essais précliniques dont il est fait mention ci-dessus, voir les articles suivants :

  • Interview avec le Dr Judy Mikovits, grande spécialiste en rétrovirus (en VO sous-titrée)
  • Les injections anti-Covid sont des thérapies géniques et une thérapie génique n'est pas un vaccin
  • Comment les « vaccins » Covid-19 pourraient détruire la vie de millions de personnes :

Citation :
« Alors que les animaux semblaient posséder des anticorps contre le virus, et auraient théoriquement dû être protégés, ils sont tombés gravement malades et la plupart sont morts lorsqu'ils ont été exposés au coronavirus naturel. »
Mais bien sûr, rien de tout cela n'est abordé dans les médias grand public. En lieu et place, on nous sert sans cesse les mêmes discours : « les vaccins sont sûrs et efficaces », « suivez la science », « écoutez les experts ». Et par « experts », ils entendent bien sûr les marionnettes pharmaceutiques sans âme comme le Dr Anthony Fauci, directeur de l'Institut national américain des allergies et des maladies infectieuses, qui vomit des mensonges sur les soi-disant infections virales depuis l'apparition du Sida en 1984. Le fait qu'un personnage comme Fauci occupe son poste depuis plus de trente ans en dit long sur le fonctionnement du système. Le regretté prix Nobel et inventeur de la réaction en chaîne par polymérase (PCR), Karry Mullis, a fustigé Fauci dans une interview :
Citation :
« Il ne sait vraiment rien sur rien, et je le lui dirais en face. Rien. Cet homme pense que l'on peut prendre un échantillon de sang et le mettre dans un microscope électronique et que s'il y a un virus dedans, on le saura. Il ne comprend pas la microscopie électronique et il ne comprend pas la médecine. Il ne devrait pas être dans une position telle que celle qu'il occupe [...] Passer à la télévision devant les gens qui paient son salaire et mentir directement à la caméra ne dérange absolument pas Tony Fauci. »
Un futur transhumaniste

En plus d'être une thérapie génique, une technologie associée à l'eugénisme et au transhumanisme, selon les scientifiques, la technologie ARNm
Citation :
« permet le développement rapide de nouveaux vaccins dans un délai très court de quelques semaines plutôt que de quelques mois. »
Nous pourrions donc être confrontés à la perspective d'un avenir truffé de « vaccins » à la demande créés pour « protéger » le public contre de nouvelles menaces invisibles.
Citation :
Note du traducteur : À ce sujet, voir aussi « Vaccins » à ARN et conquête commerciale planétaire — Le plan derrière le Covid-19
En effet, puisque les vaccinologues parlent d'ores et déjà de « variants », d'injections de rappels et de [soi-disant - NdT] vaccinations anti-Covid-19 périodiques, on peut dire que tout semble aller dans ce sens. Et bien sûr, grâce aux conglomérats de Big Tech liés au renseignement, toutes ces données seront enregistrées dans un « passeport vaccinal » relié à votre téléphone intelligent, qui constituera sans aucun doute la base d'un nouveau type de carte d'identité numérique liée à votre compte bancaire et, à terme, à votre crédit social.

En effet, en 2019, la société Microsoft de Bill Gates a déposé un brevet, opportunément nommé Brevet WO2020060606 [notez aussi le WO pour World Order - NdT)], portant sur un « système de crypto-monnaie utilisant des données d'activation corporelle », un autre indice quant aux véritables intentions de l'élite technocratique qui finance et promeut le programme transhumaniste. Le titre du brevet évoque à lui seul les images d'une société esclavagiste dans laquelle les humains sont équipés de biocapteurs et reçoivent des jetons numériques pour avoir accompli les tâches qui leur sont confiées par l'élite dirigeante.

Mais ce qui est peut-être encore plus alarmant, c'est l'empressement à obtenir l'autorisation d'utiliser les thérapies géniques chez les jeunes enfants. Pfizer est actuellement au milieu d'un essai clinique mondial, dans le cadre duquel le laboratoire pharmaceutique teste ses [soi-disant - NdT] vaccins à ARNm chez des bébés de 6 mois à peine, en dépit du fait que le « Covid-19 », si l'on suppose que cette maladie existe, ne touche pratiquement pas les enfants. En fait, selon les chiffres du CDC, le taux de létalité chez les enfants est de 20 pour 1 000 000, soit 0,002 %, ce qui est probablement inférieur au risque de dommages permanents ou de décès lié au vaccin ROR. Il est également inférieur au taux de mortalité lié au [soi-disant - NdT] vaccin contre le Covid-19, tel que calculé à partir des données du VAERS au moment de la rédaction de cet article(5 612 décès sur 165 000 000 de personnes entièrement vaccinées aux États-Unis = 0,003 %). En outre, des recherches ont établi un lien entre le [soi-disant - NdT] vaccin de Pfizer et la myocardite symptomatique, avec un taux d'incidence estimé à 1 sur 3 000 ou à 1 sur 6 000 chez les hommes jeunes.

L'empressement à intégrer ces [soi-disant - NdT] vaccins à ARNm dans le calendrier de vaccination des enfants n'a rien à voir avec la santé ou la protection, mais constitue plutôt une étape vers un objectif bien plus sinistre, à savoir le contrôle du corps humain lui-même.

Comme nous l'avons déjà mentionné dans cet article, la DARPA, l'organe de recherche du ministère de la Défense des États-Unis, a travaillé à la création de nanotechnologies capables de s'interfacer avec les cellules biologiques. En 2014, la DARPA a lancé son programme « In Vivo Nanoplatforms (IVN) », dans le but de développer des nanoplatformes implantables permettant de collecter des données biologiques et de fournir un « suivi physiologique continu ». Le programme a depuis contribué à créer des hydrogels injectables qui surveillent les réponses physiologiques et peuvent se synchroniser avec un smartphone.

En outre, la DARPA, ainsi que le NIH, financent largement Profusa, une société de biotechnologie soutenue par Google qui développe et commercialise cette même technologie d'hydrogel injectable, sauf qu'elle est maintenant présentée comme un moyen de détecter les futures « pandémies ». Les capteurs de Profusa seraient capables de
Citation :
« détecter les infections de type grippal avant même que les symptômes ne se manifestent. »
Bien qu'incroyablement inquiétant, ce n'est qu'un pas vers le but ultime de la DARPA, qui est d'établir une domination sur l'esprit. Cet objectif se reflète dans les recherches de la DARPA visant à créer des « soldats mutants » à l'aide d'« armes génétiques » capables de
Citation :
« saper l'esprit et le corps des gens en utilisant une série de techniques chimiques, neurologiques, génétiques et comportementales.
La DARPA étudie également les moyens de modifier génétiquement le cerveau afin de lire les pensées des gens et d'induire dans leur esprit des images et des sons. La recherche implique l'utilisation de « nanoparticules magnétiques », la même technologie qui, selon certains, pourrait être incluse dans les [soi-disant - NdT] vaccins anti-Covid-19, qu'ils soient actuels ou futurs.
Citation :
Note du traducteur : Voir aussi nos articles suivants :

  • DARPA — Une puce à insérer sous la peau pour « détecter le Covid-19 » dès cette année ?
  • Le « vaccin tueur » au niveau mondial : 7,9 milliards de personnes
  • Les vœux de bonne année de Boston Dynamics et de leurs robots capables de danser le twist — Devrions-nous être inquiets ou enthousiastes ?
  • Covid-19 — Le fer de lance pour la mise en place d'une « nouvelle ère » de VACCINS à haut risque, génétiquement MODIFIÉS

Tout aussi affligeant est le « Wellcome Leap », une nouvelle initiative créée en partenariat avec deux anciens hommes de pointe et la DARPA par le Wellcome Trust, lui-même lié à l'eugénisme, le Wellcome Trust étant la fondation pour la recherche médicale la plus riche du monde. L'objectif officiel du programme est de [c'est le traducteur qui souligne]
Citation :
« réaliser des percées en matière de santé humaine sur une période de cinq à dix ans et de démontrer des résultats apparemment impossibles à obtenir dans des délais apparemment impossibles. »
Actuellement, l'initiative comporte cinq projets principaux, dont le premier est « Préparation et réponse de l'ARN », qui — sachant qu'ils se réfèrent à la fabrication de produits à base d'ARN (thérapies géniques à base d'ARNm) — vise à (c'est l'auteur qui souligne)
Citation :
« créer un réseau autonome d'installations permettant la fabrication qui fournira une capacité optimale répartie dans le monde entier pour répondre aux besoins d'une future pandémie. »
Notez la certitude apparente d'une future pandémie.

Toutefois, le projet Wellcome Leap le plus inquiétant est sans aucun doute « The First 1000 days » [Les 1 000 premiers jours - NdT], un programme qui vise à utiliser des nourrissons comme cobayes afin de surveiller le développement de leur cerveau et de créer des modèles d'intelligence artificielle pouvant être utilisés pour « prédire avec précision et améliorer les résultats des fonctions exécutives ». Le projet prévoit également l'utilisation de « capteurs mobiles, de vêtements et de systèmes domestiques connectés ». Dans un article détaillé sur le sujet, la journaliste d'investigation Whitney Webb écrit que :
Citation :
« Fidèle aux liens eugénistes du Wellcome Trust (qui seront approfondis dans la deuxième partie), le projet « Les 1 000 premiers jours » de Wellcome Leap précise que
Citation :
« l'intérêt réside dans les améliorations d'une fonction exécutive sous-développée vers une fonction exécutive normative ou d'une fonction exécutive normative vers une fonction exécutive bien développée dans l'ensemble de la population afin de produire l'impact le plus large. »
L'un des objectifs de ce projet n'est donc pas de traiter une maladie ou de s'attaquer à un « défi public de santé mondiale », mais plutôt d'expérimenter l'augmentation cognitive des enfants en utilisant des moyens développés par des algorithmes d'intelligence artificielle et une technologie invasive basée sur la surveillance. »
Le délai de cinq à dix ans prévu par le Wellcome Leap coïncide avec le projet Neuralink du leader de l'élite en la matière, Elon Musk, qui ambitionne d'instaurer « l'avenir des interfaces cérébrales » afin d'« étendre nos capacités ». Lors d'une interview, Musk a déclaré :
Citation :
« Je pense que nous sommes à huit ou dix ans d'une utilisation par des personnes qui n'ont pas de handicap. »
Musk, dont la richesse a augmenté de plus de 500 % pendant la [soi-disant - NdT] « pandémie » de Covid-19, a fondé Neuralink en 2016. La société a récemment levé 205 millions de dollars de fonds auprès de sept sociétés de capital-risque (dont Google Ventures) et de cinq dirigeants de la Silicon Valley. Cependant, Neuralink n'est pas la seule société de biotechnologie à s'être lancé dans cette technologie. Récemment, Synchron, une petite entreprise de biotechnologie et concurrente de Neuralink, a reçu le feu vert de la FDA pour commencer à tester ses implants de puces cérébrales chez l'homme.

Dans dix ans, nous serons en 2030, une année qui revient sans cesse comme celle où les technologies transhumanistes seront monnaie courante dans la société. Selon les prévisions du National Intelligence Council américain, « l'humain augmenté » — la fusion de l'homme et de la machine — sera un thème majeur en 2030. Leur rapport Global Trends 2030, publié en 2012, indique que :
Citation :
« Les prothèses réussies seront probablement directement intégrées au corps de l'utilisateur. Les interfaces cerveau-machine pourraient aussi bien fournir des capacités « surhumaines » améliorant la force et la vitesse, que des fonctions qui n'existaient pas auparavant. »
Il est intéressant de noter que le rapport prévoit également « un nouvel agent pathogène respiratoire facilement transmissible » qui pourrait avoir un impact très perturbateur. Le rapport poursuit en affirmant que
Citation :
« contrairement à d'autres événements mondiaux perturbateurs, une telle épidémie entraînerait une pandémie mondiale qui causerait directement des souffrances et des décès partout dans le monde, probablement en moins de six mois. »
L'asservissement — Une décision librement consentie

Le déploiement des thérapies géniques à base d'ARNm et la poussée vers une société transhumaniste sont le prolongement du mouvement eugéniste, lui-même fondé sur le concept pseudo-scientifique selon lequel certains humains, en vertu de leur composition génétique, seraient plus « aptes » que d'autres à diriger la société.

Le « héros » de l'épidémie de polio, Jonas Salk, entretenait lui-même des liens avec l'eugénisme, tout comme l'institut nommé en son honneur, le Salk Institute. Leurs recherches sur l'ARNm, financées par le NIH, ont jeté les bases du développement et de la diffusion massive des thérapies géniques, appelées de manière controversée [et à dessein - NdT] « vaccins ». Le danger de cette technologie expérimentale est évident, étant donné qu'elle a déjà causé des milliers de dommages et de décès dans le monde entier.

Le rôle des organisations de renseignement, des technocrates milliardaires et des initiatives pharmaceutiques dans le financement, la recherche et la promotion de ces [soi-disant - NdT] vaccins à ARNm, des interfaces « bio-cerveau », de l'édition de gènes et autres technologies imprégnées d'idéaux eugénistes donne l'image d'un programme mondial qui devrait atteindre sa vitesse de croisière d'ici 2030. L'actuelle [soi-disant - NdT] « pandémie » de Covid-19 a servi à accélérer ce programme en centralisant la richesse et le pouvoir, en faisant entrer la technologie transhumaniste dans le courant dominant et en normalisant les régimes autoritaires. Les essais de Pfizer sur les nourrissons et le projet alarmant « Les 1 000 premiers jours » du Wellcome Leap indiquent que la clé de cet agenda est le conditionnement et le contrôle des enfants dès leur plus jeune âge, ce qu'Aldous Huxley a décrit en détail dans son roman eugéniste prophétique et inquiétant, Le meilleur des mondes.

Ce programme, bien que soutenu par certains des individus et institutions les plus puissants du monde, présente une faiblesse évidente : son succès dépend de notre choix à y consentir. Il ne progressera que si nous le laissons faire. Par conséquent, il appartient à chacun d'entre nous, par une résistance non violente et compatissante, de semer les graines de l'éveil dans la conscience collective de l'humanité.

Source de l'article initialement publié en anglais le 25 août 2021 : New Brave World
Traduction : Sott.net
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